Les modèles Pro représentent l’exposant maximum du catalogue iPhone, et le 14 Pro Max arrive avec un raffinement assez prometteur par rapport à la génération iPhone 13. Adieu l’encoche, bonjour l’Island dynamique, le saut historique à 48 mégapixels et une puce de nouvelle génération qui a été réservée uniquement aux modèles Apple Pro.
L’iPhone 14 Pro Max aspire à être le meilleur haut de gamme du marché et passe par notre tableau d’analyse pour voir s’il se bat avec les meilleurs. Le défi de justifier les presque 1 500 euros que coûte la version de base est colossal : Apple doit très bien faire ses devoirs pour montrer que l’iPhone 14 Pro Max offre tout ce qu’on attend de lui.
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Fiche technique de l’iPhone 14 Pro Max
| DIMENSIONS ET POIDS | 160,7 × 77,6 × 7,85 mm 240 g |
|---|---|
| ÉCRAN | Super Retina XDR 6,7 pouces True Tone, HDR ProMotion 120 Hz 2 778 x 1 284 px, 458 ppp 2 000 nits, rapport de contraste 2 000 000:1 Affichage permanent Dynamic Island |
| PROCESSEUR | Apple A16 bionique |
| RAM | 6 Go LPDDR5X |
| STOCKAGE | 128/256/512 Go/1 To |
| CAMÉRAS ARRIÈRE |
|
| CAMÉRA FRONTALE | 12MP, f1.9, mise au point automatique |
| SYSTÈME OPÉRATIF | iOS16 |
| CONNECTIVITÉ | 5G (sous-6 GHz) LTE Gigabit avec 4×4 MIMO et LAA Wi-Fi 802.11ax (6e génération) avec 2×2 MIMO Bluetooth 5.3 Puce NFC ultra-large bande |
| LA BATTERIE | 4 323 mAh Charge rapide 20 W Charge sans fil 15 W |
| AUTRES | Son stéréo FaceID IP68 |
| LE PRIX | À partir de 1 469 euros |
iPhone 14 Pro Max : Design
On va passer rapidement sur le design de cet iPhone 14 Pro Max, puisqu’il est pratiquement identique à ce qu’on a vu l’an dernier en sauvant le fameux Dynamic Island, dont on reparlera très bientôt. Ce 14 Pro Max fait ses débuts dans le nouveau coloris Deep Purple, un violet assez surprenant. Il est quasiment plus proche du gris que du violet, il n’est donc ni strident ni trop flashy.
1) Vitre
La vitre arrière est à nouveau mate, ce qui rend très difficile la présence d’empreintes digitales et de saleté. Les côtés sont l’antithèse de l’arrière, et c’est que la finition en acier inoxydable est brillante au niveau de la qualité, mais terrible face à la saleté. Même en le nettoyant à fond, après quelques secondes, nous revenons à l’avoir plein d’empreintes digitales.
2) Caméra
Le module de caméra grandit à nouveau, juste assez de millimètres pour que les couvercles du modèle précédent ne fonctionnent pas pour le 14 Pro Max, car ils ne s’adaptent pas à 100 %. Les nouveaux capteurs et objectifs ont agrandi à la fois le module et les caméras elles-mêmes, qui dépassent désormais davantage du corps du terminal et prennent plus de place. Avec une housse, on ne remarquera rien, mais sans elle le mobile dansera un peu plus lorsqu’il sera face contre terre sur une surface plane.
Sur Internet, des images ont été publiées sur la mauvaise apparence de cette île dynamique au soleil. Mais la vérité est qu’Apple a fait un excellent travail avec le traitement des pixels qui l’unissent . La couche de pixels de cet îlot relève d’un nouveau système de sous-pixels et d’anti-aliasing (technique de lissage d’image) pour rendre ses bords d’une netteté maximale. Pour remarquer que nous sommes confrontés à deux éléments différenciés, nous avons besoin d’une incidence très agressive du soleil, ainsi que de regarder l’iPhone d’une position quelque peu inclinée. Apple a transformé une idée douteuse en une solution très utile et intégrée avec l’interface système.
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3) Clavier
Le clavier est situé dans la même position que l’an dernier, avec un bouton d’alimentation particulièrement accessible (chose appréciable dans un mobile aussi grand) et les boutons de volume sur le côté opposé. Le bouton de sourdine ne manque pas, une caractéristique clé de l’iPhone et dans laquelle ils sont à présent seuls sur le marché, après que OnePlus ait abandonné cette idée dans son haut de gamme.
4) Réduction de certains éléments
À l’avant, il y a eu deux changements, le premier est l’îlot dynamique et le second est que les cadres ont été réduits. C’est une petite réduction à peine perceptible si nous venons du modèle précédent. Oui, j’ai légèrement remarqué l’utilisation supplémentaire lors de la lecture de contenu multimédia et de jeux vidéo (où nous verrons que l’île dynamique a aussi des choses à dire) et ; au moins cette génération, il suffit de regarder l’avant du téléphone pour savoir si on est face à un modèle Pro ou un modèle standard.
5) Le poids
Au niveau de l’ergonomie, il s’agit tout de même d’un mobile très volumineux et lourd. Nous parlons d’un poids de 240 g et d’une hauteur de 16 centimètres. Il est plus lourd que ses concurrents directs, principalement en raison de l’utilisation d’acier inoxydable. Si l’on ajoute un boîtier officiel, le poids monte à 271 g, des chiffres dont il faut tenir compte et qui peuvent faire du 14 Pro une alternative plus appétissante. Avec un étui en cuir officiel, cet iPhone 14 Pro Max pèse plus de 270 g. C’est plus que le poids d’un Samsung Galaxy Z Fold4.
En bref, cet iPhone a une qualité de construction exquise, un module de caméra qui grandit année après année, des cadres légèrement plus petits et un Dynamic Island qui capte tous les regards.
6) Écran : brillant de sa propre lumière
Avant de détailler le fonctionnement de l’île, il y a quelques points intéressants à commenter sur l’écran. Nous avons à nouveau un panneau de 6,7 pouces, avec le nom Super Retina XDR. La résolution est désormais légèrement supérieure, à 2 778 x 1 284 pixels, et la densité est de 458 ppi. Cependant, le point d’orgue est le nouveau pic de luminosité à l’extérieur : 2 000 nits. C’est actuellement le chiffre le plus élevé pour un téléphone et, bien qu’il ne se produise qu’occasionnellement, le saut par rapport au modèle précédent est spectaculaire (deux fois plus de lentes à l’extérieur). Il modifie également la luminosité maximale du contenu HDR, qui passe de 1 200 à 1 600 nits.
Le panneau iPhone 14 Pro Max est brutal au niveau de luminosité maximal à l’extérieur. Le nouveau pic de luminosité maximale est considérablement perceptible par rapport au modèle précédent
C’est, à ce jour, le panneau que nous avons pu mieux visualiser au soleil. Outre ce haut niveau de luminosité, le rendu des couleurs est encore une fois proche de la perfection, tout comme les angles de vision. C’est un panneau net, avec du contraste, un excellent calibrage et qui est particulièrement apprécié à l’extérieur. On continue avec le système adaptatif ProMotion à 120 Hz, avec de multiples valeurs intermédiaires à partir de 10 Hz. Si on lit un film à 24 FPS, la dalle s’adapte à 24 Hz, si la vidéo est à 50 FPS, pareil.
7) Le Always On Display arrive sur l’iPhone 14 pro max
L’une des grandes nouveautés de cette génération est le Always On Display, « Show Always« , sous le nom d’Apple. Ils sont arrivés en retard, mais ils sont arrivés mieux que la concurrence, du moins sur le plan technique. Le mode AOD d’Apple n’est pas un écran noir qui tire parti des pixels ternes de la technologie OLED. Ici, ils font tout et atténuent simplement l’écran de verrouillage.
Ainsi, nous avons tout le temps des informations, des widgets et des notifications. L’une des questions soulevées est de savoir à quoi ressemblerait ce mode au soleil. Le mode AOD d’Apple s’adapte à la luminosité du téléphone, c’est-à-dire que si nous sommes à l’extérieur avec une luminosité élevée, l’écran éteint sera suffisamment lumineux pour le voir à l’extérieur. Sous la mesure du luxmètre, dans la zone centrale du panneau, nous en sommes venus à mesurer jusqu’à 4 fois plus de luminosité dans le même scénario. D’abord en verrouillant le téléphone avec une luminosité minimale, puis en le verrouillant avec une luminosité maximale.
La luminosité du Always on Display est liée à celle de l’écran allumé et du capteur de luminosité. La valeur que vous avez attribuée au moment du verrouillage du téléphone déterminera la luminosité de l’AOD lui-même, ainsi que la lumière ambiante qu’il y a. Si nous sommes chez nous avec une faible luminosité, l’écran brillera peu. Nous prévoyons déjà que, bien qu’il soit complètement à l’écran, il ne dépense pas plus qu’un Android avec un écran noir, quelque chose qui peut être en partie dû au fait qu’en mode AOD, le panneau tombe à 1 Hz.
Les options
Étant donné que le mode Always on Display est une gradation de l’écran de verrouillage, la façon de le personnaliser consiste à régler l’écran de verrouillage lui-même. Avec l’arrivée d’iOS 16, plusieurs options s’offrent à vous, avec de nouveaux widgets, polices, options pour créer des fonds d’écran personnalisés, etc.
1- les couleurs
Pour les goûts, les couleurs. Techniquement, cette solution Always On Display est la plus informative, puisque nous avons l’écran de verrouillage à luminosité la plus faible, ni plus, ni moins. La transition marche/arrêt est particulièrement douce et légère, avec une petite animation qui fait disparaître les icônes de la barre d’état.
2-differents modes
Concernant les options du panneau, on retrouve les mêmes que toujours. Nous avons un mode sombre programmable, un mode True Tone pour adapter les couleurs du panneau à la lumière ambiante ; un mode Night Shift pour rendre le panneau plus chaud lorsque la nuit tombe, et une option de texte plus grande, rien d’autre.
Depuis l’iPhone X, introduit en 2017, aucune modification pertinente n’a été apportée à l’avant de l’iPhone. Avec la génération 13, la taille de l’encoche a été réduite, mais nous avons continué avec ce sourcil à l’écran, nécessaire pour cacher tout le matériel Face ID. Cet iPhone 14 Pro Max dit adieu à l’encoche, abritant le nouveau « Dynamic Island« , un hybride entre le système multitâche, l’ancienne encoche et les icônes de notification classiques que l’on trouve sur Android.
Sur le plan technique, ce n’est pas une île en tant que telle, mais plutôt deux parties parfaitement différenciées. Sur la droite, nous trouvons la caméra frontale du téléphone, tandis que l’émetteur infrarouge, le projecteur de points, le capteur de proximité et le rétroéclairage sont cachés à l’intérieur de l’élément de gauche. Tout ce matériel Face ID occupe 30 % d’espace en moins par rapport à l’encoche de l’iPhone 13. Pour apporter une cohérence au niveau de l’interface et faire que ces deux éléments forment un ‘Ile’, les deux sont réunis par un logiciel, Apple dessinant les pixels qui les séparent.
3- Les applications
Au niveau du concept, Dynamic Island est une idée brillante . Apple a transformé une exécution douteuse comme l’encoche en une solution intégrée au système d’exploitation. Cette île dynamique interagit avec les applications natives et les applications tierces. Il sera facile pour les développeurs d’adapter leurs applications à l’île, puisqu’ils n’auront qu’à utiliser les API NowPlaying (pour lire du contenu) et CallKit (pour prendre en charge les appels). Actuellement, des applications telles que WhatsApp, Instagram, Spotify et YouTube Music, entre autres, sont adaptées à ce nouveau système.
Dynamic Island est également un centre d’information sur les applications qui s’exécutent sur notre téléphone. Si nous jouons de l’audio WhatsApp ou une chanson, nous aurons la photo de l’artiste/contact, en plus de la véritable onde sonore du son en cours de lecture . La même chose se produit s’ils nous appellent : la vague de notre interlocuteur est affichée dans une couleur, et la nôtre dans une autre couleur. Si nous ouvrons plus d’une application compatible avec Dynamic Island, elles changeront de position en fonction de l’ordre d’ouverture. Si nous cliquons sur ces applications, nous les ouvrons instantanément.
4- Les fonctions
Nous avons les fonctions de long appui. C’est un moyen d’interagir avec les applications : commandes multimédias dans Spotify, pause/démarrage des minuteries, fin du fil d’Ariane… C’est un moyen plus rapide que d’ouvrir ou de rechercher l’application sur le bureau ; bien que le principal inconvénient soit ce qu’il est tout simplement impossible pour atteindre l’île avec un doigt, en particulier dans le modèle Pro Max.
Pour le moment, voici la liste complète des applications et actions qui utilisent l’île :
- Les appels entrants.
- AirPod connectés.
- ID de visage.
- Payer Apple.
- Clés de voiture dans le portefeuille.
- largage aérien.
- Déverrouiller Apple Watch.
- Batterie faible.
- Mise en charge.
- Activation/désactivation de la sourdine.
- Interactions NFC.
- Jeu aérien.
- Changements de mode de concentration.
- raccourcis.
- Mode avion/Pas de service.
- Alertes de la carte SIM.
- Connexion des accessoires.
- application de recherche.
- Appel en cours.
- partager le jeu.
- Applications de musique/lecture.
- minuteur.
- Itinéraire par carte.
- notes vocales.
- Écran d’enregistrement.
- hotspot personnel.
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Mais tout ce qui brille n’est pas or. Bien que, visuellement, il semble que cette île soit un peu plus discrète que l’encoche, la vérité est qu’elle est située plus bas que l’encoche elle-même, ce qui la rend plus intrusive. Dans les jeux, le contenu multimédia et même dans certaines applications, cela devient un élément plus intrusif.
Les performance
Apple s’est depuis longtemps éloigné de ses rivaux dans la course aux puces. L’ A16 Bionic est une évolution intéressante par rapport à la puce précédente, désormais fabriquée selon le procédé 4 nanomètres . Ce SoC mise sur l’efficacité énergétique, promettant de consommer moins que l’A15 Bionic.
Le moteur neuronal est désormais capable d’exécuter 17 billions d’opérations par seconde et le GPU dispose désormais de 50 % de bande passante en plus. Bien que nous reliions généralement ces changements aux performances brutes du terminal , la vérité est que ces nouvelles capacités d’exécution des opérations finissent par aider les calculs photographiques plus que les propres performances du terminal que, par exemple, pendant de longues journées de jeu.
1. Le processeur
Dans cette génération, Apple a été quelque peu discret en annonçant le SoC, ce qui nous fait soupçonner un fort héritage par rapport au processeur précédent. On parle de 6 cœurs et d’une division en deux clusters . Le premier se compose de deux cœurs Avalanche hautes performances avec une fréquence maximale de 3,46 GHz (jusqu’où ira-t-on avec cette fréquence d’horloge ?), et de quatre cœurs Blizzard économes en énergie.
Sur le papier, cela semble spectaculaire et, dans la pratique, c’est la même chose. Cette puce, dans la lignée de l’optimisation d’iOS 16, offre une expérience utilisateur pratiquement parfaite. L’iPhone 14 Pro Max vole , il a cette fluidité supplémentaire dont les iPhones se vantent habituellement et, en bref, les performances sont proches de la perfection.
2. Resolution
Nous n’avons remarqué certaines augmentations de température qu’après avoir abusé de l’enregistrement 4K et après avoir joué à « Genshin Impact » pendant environ 20 minutes. Il ne brûle pas, mais il atteint une température élevée avec une relative facilité, pour ensuite se stabiliser.
Si l’on parle de benchmarks et de performances soutenues, Apple n’a toujours pas de rivaux. Dans Geekbench, il double les performances des dernières puces Qualcomm (processeur monocœur), des chiffres brutaux qui montrent le muscle de la puce. Dans le multicœur, il existe également des différences significatives, avec un énorme écart dans les tests de résistance Geekbench et 3D Mark.
3. Graphisme
En jouant à Genshin Impact pendant une demi-heure, avec les graphismes réglés au maximum, nous n’avons pas eu la moindre baisse de FPS , ce qui montre que ce processeur n’a aucun problème à maintenir les performances pendant des heures. Nous voulions mesurer avec précision les FPS lors d’une journée de jeu, mais la version actuelle de l’iPhone l’a empêché.
Dans 3DMark, nous constatons une stabilité proche de 70%, des données qui peuvent vous choquer si vous avez vu des analyses précédentes de processeurs tels que le MediaTek Dimensity 8100, qui atteignent une stabilité de plus de 90%. Cependant, c’est un fait logique.
Iphone 14 pro max : autres changements
Des améliorations Apple qui affinent l’expérience avec un système de plus en plus ouvert à la personnalisation, en conservant la simplicité et l’écosystème fermé qui le caractérise tant. Comme toujours, le système est livré préchargé avec de nombreuses applications Apple telles que GarageBand, Keynote, Clips, Stocks, Apple Store… Heureusement, la plupart des applications inutiles peuvent être supprimées, il n’y a donc pas de problème majeur avec elles.
Logiciel : iOS 16 affine
iOS 16 atteint à la fois l’iPhone 14 Pro Max et tous les iPhones à partir de 8. Il s’agit d’un raffinement du système d’exploitation d’Apple, avec quelques touches au niveau de l’interface, de nouvelles fonctions et l’écran de verrouillage en tant que protagoniste . Dans la section écran, nous prévoyons qu’il existe maintenant de nouvelles options pour le personnaliser, et il y en a beaucoup.
Maintenant, nous pouvons avoir plusieurs écrans de verrouillage, chacun avec son arrière-plan et ses widgets, pouvant basculer de l’un à l’autre en quelques clics. Lors de leur création, iOS 16 nous offre de nombreuses options de personnalisation, pour créer notre fond d’écran à partir de zéro, ajuster une photo existante à l’horloge système, utiliser des éléments de certaines applications (comme la météo) pour créer des widgets, etc.
Les notifications
Les notifications défilent maintenant vers le bas de l’écran pour « ne pas déranger« . Ceci, d’après mon expérience, est plus ennuyeux que ce que nous avions auparavant , car nous n’avons plus cette information centrale de la part de l’écran lorsque nous avons un message. Au fur et à mesure que les notifications arrivent, elles sont empilées afin que les plus récentes soient plus hautes. En ce moment d’avoir plusieurs notifications en attente, nous avons des informations au centre de l’écran.
Le bureau est toujours l’Apple classique, bien que nous ayons maintenant le bouton « rechercher » en bas. C’est quelque chose que j’ai désactivé, car je ne vois pas l’intérêt d’avoir la recherche Spotlight avec un balayage vers le bas sur l’écran. Le reste de l’actualité a à voir avec la photothèque iCloud partagée, la suppression des iMessages et les améliorations de l’IA de l’appareil photo et des photos, qui est désormais capable de détecter du texte en vidéo, de séparer le sujet de l’arrière-plan ou de convertir des devises.
Biométrie : le même Face ID en plus petit
Face ID, bien qu’occupant moins d’espace dans cette génération, reste le meilleur système de reconnaissance faciale 3D du marché. Il fonctionne sous un bon éclairage, il fonctionne sous un mauvais éclairage et, au moins sur l’iPhone 14 Pro et Pro Max, il fonctionne même en paysage. Mais ce qui distingue le système biométrique d’Apple n’est pas la simple fonction de déverrouillage à l’aide de notre visage, mais l’intégration de Face ID comme système de sécurité et d’authentification.
Le point clé de Face ID n’est pas seulement son fonctionnement. C’est son intégration complète en tant que système biométrique dans le système. Avec Face ID, nous pouvons saisir automatiquement les mots de passe, payer avec Apple Pay sans avoir à saisir le code PIN de la carte, effectuer des paiements et télécharger des applications dans l’App Store et fonctionner comme un système de protection et d’authentification dans les applications bancaires, Google Chrome et plus encore. . Oui, il nous manque un lecteur d’empreintes digitales sous l’écran , mais Face ID reste l’un des éléments clés du matériel iPhone.
Le Son : un concert à volume maximum
La section auditive est généralement l’un des points forts de l’iPhone, et le Pro Max, en raison des avantages de résonance fournis par sa taille, est généralement le modèle le plus remarquable de la famille. Ce 14 Pro Max a un son clair et net avec une excellente plage dynamique. Il n’y a pas trop de distorsion dans les plages de volume maximales et la présence de basses se démarque de ses rivaux, ce qui est particulièrement apprécié lorsque nous écoutons de la musique ou regardons un film.
Apple n’autorise pas trop de réglages concernant l’audio, l’égalisation fournie avec le téléphone ne peut pas être ajustée et il n’y a pas d’autre option que de pouvoir réduire le volume automatiquement si le système considère qu’il est nocif pour notre audition.
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Autonomie
La batterie de ce téléphone est toujours spectaculaire, même si l’expérience changera radicalement entre l’utilisation du mode Always on Display ou non. Si on utilise ce mode, l’autonomie oscille autour de 8 heures d’écran, avec une utilisation mixte 5G, WiFi, intérieur, extérieur, lecture multimédia et jeux. C’est déjà un chiffre au-dessus des 6/7 heures que l’on voit habituellement chez ses rivaux directs.
Si on enlève le Always on Display, on gagne entre 10 et 15 % d’autonomie, ce qui nous permet de faire environ une heure supplémentaire. 9 heures d’écran en usage intensif, un petit plus si on est bridé à l’usage. Un chiffre barbare pour pouvoir rester environ 10 heures avec un mobile avec une luminosité maximale de 2 000 nits et une taille d’écran de près de 7 pouces.
Concernant la charge, Apple nous parle de 27W dans cet iPhone 14 Pro Max. Dans mes tests, avec un ampèremètre électrique, j’ai noté des pics de 29,9W, c’est donc vraiment une charge proche de 30W. Pour le recharger complètement, nous avons eu besoin de 1h50, un chiffre qui le laisse loin derrière ses concurrents, car il existe des bornes capables de se recharger en un peu plus de 15 minutes.
Caméras : les 48 Mg arrivent pour le plaisir de quelques-uns
Et nous arrivons à la section photographique, où nous vous avons déjà dit qu’Apple a mis presque toutes ses ressources dans cette génération. Nous avons des appareils photo de 12 mégapixels sur les iPhones depuis six ans, lorsque l’iPhone 6s a fait ses débuts avec cette résolution. La taille du capteur a augmenté de façon exponentielle , ainsi que le nombre de lentilles, mais Apple n’a pas osé faire le saut vers des résolutions plus élevées aidées par la technique de pixel binning,Pixel Binning .
Avec l’iPhone 14 Pro Max, les mégapixels comptent . Ce téléphone lance une résolution de 48 mégapixels sur un capteur nettement plus grand, avec 65% de surface en plus par rapport aux modèles Pro 13. Ces 48 mégapixels permettront de capter plus de lumière, au point qu’Apple dispose désormais d’objectifs moins lumineux depuis S’appuyer sur la force brute du capteur et la lumière supplémentaire capturée avec le regroupement de pixels 4 en 1. Le 48 MP n’est pas seulement là pour montrer les détails dans ProRAW. Nous avons un capteur plus lumineux avec plus de muscle, ce qui nous permettra une plus grande polyvalence photographique.
Quelques caractéristiques de la caméra de l’iPhone Pro max
Par défaut, l’iPhone continue de filmer en 12 mégapixels et au format HEIC, et peut également configurer la sortie d’image au format JPEG. Nous aurions aimé un mode de prise de vue de 48 mégapixels, car dans HEIC, ils n’occuperaient pas beaucoup plus que 4 ou 5 mégapixels. Cependant, les avantages du Pixel Binning ne pourraient pas être utilisés, nous aurions des photographies moins lumineuses, et Apple devrait traiter ces images d’une manière différente. Heureusement, des applications tierces nous permettront de filmer dans la résolution et le format que nous voulons
- Capteur principal : 48MP, f/1.78, 24mm, capteur stabilisé de deuxième génération. 100 % de pixels de mise au point.
- Ultra large : 12MP, f/2.2, 13mm.
- Téléobjectif : 12MP, f/2.8, 77mm, OIS, zoom optique 3x.
- Caméra selfie : 12MP, f1.9, AF.
- Vidéo : 4K @24/25/30/60fps, 1080p @25/30/90fps, 4K HDR @30fps mode cinéma, vidéo macro, ralenti, time-lapse, vidéo ProRes, mode action.
A ces trois capteurs principaux, il faut ajouter un nouveau zoom 2x qui profite de la zone centrale du nouveau capteur de 48 mégapixels. La zone centrale des capteurs est la plus nette et la moins déformée. Apple extrait donc tout le jus de cette zone douce du capteur pour obtenir un zoom sans perte. Ce n’est pas vraiment un zoom numérique, mais plutôt une découpe de ladite zone de capteur, on a donc beaucoup de jeu et une belle qualité d’image, comme on le verra plus tard.
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application appareil photo
À propos de l’application appareil photo, nous allons passer rapidement en revue quelque chose, car c’est la même que celle que nous avons trouvée dans la dernière génération. Cette année, nous avons un bouton de zoom supplémentaire , le 2X, mais le reste des paramètres reste dans la même position. Pour activer l’accès à ProRAW, ProRes et macro, nous devrons les configurer à partir des paramètres. Cela nous dérange toujours que nous ne puissions pas accéder à ce menu de paramètres depuis l’appareil photo, car il se trouve dans le menu des applications de l’iPhone. Trucs iOS.
En parlant de ces paramètres, nous avons maintenant quelques options supplémentaires. L’un d’eux est le mode de stabilisation amélioré , qui effectue un petit zoom pour stabiliser encore mieux. Les autres sont de vieux familiers comme le scanner de code QR intégré, la détection de texte, la zone hors cadre et les styles de photo, qui dans iOS 16 montrent le réglage de la teinte et de la chaleur.
Enfin, bien que ce ne soit pas quelque chose de nouveau, notez qu’Apple est la seule entreprise qui, avec Google, affiche le traitement HDR en temps réel à partir de l’aperçu . En d’autres termes, la plage dynamique que nous voyons avant de prendre la photo est la même que celle que nous aurons après l’avoir prise. Cela peut sembler un détail anodin, mais en ce milieu d’année 2022 ses rivaux n’ont pas daigné avoir un aperçu qui montre quelque chose de vraiment proche de ce que nous aurons une fois la photo prise.
Caméra arrière
L’appareil photo de l’iPhone 14 Pro Max est légèrement plus anguleux que le précédent, passant de 26 à 24 mm. La différence est pratiquement imperceptible, mais nous avons un cadre un peu plus ouvert. Parlons des résultats . Le niveau de la génération précédente était élevé, même si l’accusé avait des devoirs à faire. Apple continue de donner (trop) de poids à la photographie numérique, avec de nouveaux algorithmes de traitement sous le nom de Photonic Engine.
Au-delà des noms pompeux, la vérité est qu’il y a eu quelques changements dans la façon d’interpréter les images. La première chose que nous avons remarquée avec cet appareil photo est une meilleure plage dynamique. L’iPhone 13 Pro Max a laissé les ombres complètement éteintes , tandis que le nouveau modèle sauve beaucoup plus d’informations des zones où tout était auparavant un point noir. Plus tard, nous verrons que l’appareil photo peut capturer beaucoup plus de plage dynamique dans l’ombre si nous tournons en ProRAW mais, même s’il fait un peu sombre lors de la prise de vue en HEIC, il y a plus d’informations que l’année dernière.
Apple détecte la présence d’une personne dans la scène, ce qui améliore l’exposition, le contraste et la saturation . L’iPhone ne veut en aucun cas laisser un sujet sombre, quitte à renoncer à une photo plus naturelle. La décision est logique, mais la prime de saturation est trop pour nous.
Caméra frontale
Nous passons rapidement en revue le selfie, en commentant qu’il ajuste l’angle en fonction de la photo que nous prenons et que, heureusement, le traitement est le même que celui de la caméra arrière. Ainsi, on a des images avec beaucoup de détails, une peau très bien traitée tant au niveau de la colorimétrie que de la balance des blancs, et un mode portrait qui fonctionne bien, même si avec des zones de cheveux et d’oreilles quelque chose est généralement laissé de côté.
Si la nuit tombe, les résultats semblent également s’être améliorés par rapport à la génération précédente. On ne remarque plus autant de bruit , non pas à cause du lavage, mais grâce à l’aide de l’ouverture f/1.9. Nous avons également une mise au point automatique, quelque chose qui permettra aux selfies de ne pas être flous en basse lumière ou lorsque nous nous déplaçons.
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Apple n’a toujours pas franchi le pas vers la 8K, et les principales nouveautés à venir cette année sont l’enregistrement en mode cinéma en résolution 4K, un nouveau mode d’action pour mieux stabiliser et rien d’autre. Nous avons toujours un format ProRes , qui est d’environ 1,7 Go par minute en HD et 6 Go par minute en 4K. Le stockage requis est tel que les modèles 128 Go ne peuvent pas enregistrer en ProRes. Nous pouvons également enregistrer en HDR sous la norme Dolby Vision.
A la fois en 4K et en 1080 à 60 FPS, l’iPhone est toujours en avance sur ses concurrents . Il génère moins d’artefacts, le fichier est beaucoup plus propre et le travail de stabilisation est impeccable, il semble que l’on monte le téléphone sur un cardan. Si nous voulons une stabilisation supplémentaire, nous pouvons activer le mode action, qui coupe une partie de la vidéo pour mieux la stabiliser.
Conclusion
Les performances de pointe de l’A16 Bionic sont nettement supérieures à celles de la concurrence , mais il est difficile de faire valoir ce point (il suffit de regarder les scores 3DMark). Quelques minutes après avoir atteint ledit pic, il réduit légèrement les performances pour avoir une performance sans drames au niveau thermique. Une fois ce point idéal de performance atteint, où le SoC est confortable, il fonctionne à un niveau exceptionnel.
Ce que nous ne comprenons pas totalement, c’est comment, dans un mobile avec un prix de base d’environ 1 500 euros, le stockage de base est toujours de 128 Go (type NVMe). La concurrence directe commence dès les 256 Go, le minimum que l’on peut demander à un téléphone de ce montant. Dans notre cas, nous avons testé le modèle 1 To. 2 119 euros de frais, ni plus, ni moins .
L’autre critique vient de la RAM, 6 Go. iOS fonctionne assez différemment d’Android, il n’est donc pas tout à fait juste de comparer le fonctionnement de la RAM sur ce système par rapport à Android. Cela ne signifie pas que l’iPhone réclame plus de RAM , et il lui a été difficile de garder des jeux comme Genshin Impact en arrière-plan. Dans le reste des scénarios, il ne ferme généralement pas les applications, mais habitué aux 12 Go des produits phares d’Android, j’ai remarqué moins de potentiel en multitâche.
